CFTC Paris | Il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour ce qu’ils ne sont pas
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Il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour ce qu’ils ne sont pas

Il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour ce qu’ils ne sont pas

Ses attaques, pleines de haine contre les chrétiens sont, elles, carrément révoltantes.

Dans un entretien à Libération, il se lâche, affirmant : « la civilisation chrétienne, qui a engendré la Shoah ».
Vous avez bien entendu ! La civilisation qui affirme l’égalité intrinsèque de chaque être humain, fils du même père, la dignité sacrée de la personne. Celle qui est à l’origine de l’abolition de l’esclavage, qui prône l’amour et le pardon, est la génitrice de l’extermination programmée des juifs par le régime national socialiste.

Simplement ignoble.

Quand j’ai lu cette déclaration dans Libération, je me suis tourné vers la photo d’un homme qui orne mon bureau.
Cet homme, parce que Chrétien, a résisté aux nazis , arrêté, condamné, emprisonné à la Centrale de Fresnes.
Le 11 novembre 1942, il accrochait aux barreaux de l’infirmerie de la prison, un drapeau Français, fabriqué avec un bout de drap blanc, du mercurochrome et du bleu de méthylène.
Ce geste et quelques autres lui valurent d’être inscrit sur les listes de déportation. Il en réchappa par miracle.
Toute sa vie, ce chrétien accueillit les plus pauvres. Médecin, il soignait gratuitement les indigents, les filles mères rejetées par leur entourage et la société, et tant d’autres. Je pourrais vous citer 1000 anecdotes sur son courage et sa charité.
Et toujours, il affirmait tirer sa force de sa foi catholique.

Vos propos, Monsieur Mélenchon, sont un crachat au visage de ce juste, comme sur celui de millions d’autres.

Vous êtes un intellectuel dites-vous ! Je crains que vous le soyez à la façon de celui qui déclarait : « J’ai voulu faire la révolution pour que le peuple accède au savoir, et j’ai fait d’un lycée une prison ».
Il s’agit du communiste, chef de camp tortionnaire Duch, surnommé le Maître des Forges de l’enfer au Cambodge.

A la semaine prochaine.