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La vérité dérange !

La vérité dérange !

Chronique de J. THOUVENEL du 24.02.2015 sur Radio Notre Dame (100.7)
Lire la chronique, c’est bien ! L’écouter, c’est encore mieux !

Les professionnels des grands médias, emplis de certitudes, promeuvent en permanence un monde d’où est exclue toute transcendance. Le summum étant sans doute ces émissions où s’affrontent dans un jaillissement de niaiseries, minus bodybuildés et cruches ripolinées.

Le rassemblement cathodique de faibles d’esprit ayant l’immense avantage d’éviter que l’on traite des sujets dérangeants.

Car la ligne éditoriale dominante semble être la peur.

Crainte de sortir du politiquement correct, frayeur consciente ou inconsciente à l’idée de bousculer les certitudes du jour.

Prenons un exemple : Jerzy POPIELUSKO, prêtre polonais, soutien inébranlable du syndicat SOLIDARNOSC dans la lutte contre la dictature, fut enlevé, atrocement torturé et assassiné par la police politique communiste. C’était en 1984.

En 2011, lors d’un voyage en Pologne, Monseigneur Michel SANTIER, évêque de Créteil, confie son diocèse à l’intercession du martyr.

En 2012, un homme de 56 ans se meurt à l’hôpital de Créteil.

Atteint depuis 11 ans d’une leucémie, Marc ne peut plus marcher. Greffe de moelle et chimiothérapies ont échoué, les cellules cancéreuses ont envahi son corps.

Les médecins ont arrêté tout traitement, et averti son épouse que c’était la fin, une question d’heures plutôt que de jours.

Contact est pris avec les pompes funèbres, le cercueil commandé.

En ce vendredi 14 septembre après midi, le Père Jean est appelé en urgence pour donner l’onction des malades à un mourant.

Quand il arrive, Marc est déjà inconscient. Le Père Jean pose sur la table de chevet un lumignon, la croix de Jean-Paul II et l’image du père POPIELUSKO. Il administre le sacrement et confie le mourant à l’intercession du bienheureux Jerzy POPIELUSKO.

Depuis qu’il a découvert qu’ils étaient tous les deux nés le 14 septembre 1947, le Père Jean prie tous les jours, le martyr Polonais.

Avant de s’éclipser, il s’adressera par ces mots au bienheureux. « Écoute Jerzy, c’est ton anniversaire et c’est le mien, donc si tu dois faire quelque chose, c’est le jour ».

Sitôt le Père Jean parti, Marc ouvre les yeux et demande ce qui lui est arrivé.

Le lendemain, l’infirmière qui rentre dans sa chambre, trouvant le lit vide, pense qu’il est décédé dans la nuit.

Pas du tout, Marc est debout et fait sa toilette, les examens médicaux sont formels, Marc est guéri.

Un tel événement, à une encablure de la capitale, devrait pousser presse et télévision à enquêter.

Tous les témoins sont vivants, y compris médecins et infirmières, pas plus croyants que l’ensemble des Français.

Les dossiers médicaux, notamment les radiographies (avant-après) sont disponibles.

Ce n’est pas que le sujet est sans intérêt, non, il est simplement trop dérangeant.

La grande peur des bien-pensants, c’est d’approcher de trop près la vérité.


À la semaine prochaine !