06 Jan Quand l’égalité assassine la liberté.
Ces dames qui pensent, et qui doivent dépenser vu la qualité de leur garde robe du type : SIMPLE mais chère, rétorquent « qu’il n’y a pas de temps partiel choisi ou imposé. C’est un problème de genre ».
Pour ceux qui n’auraient pas compris ou qui seraient peu au fait du dialecte bobo, il ne peut y avoir de femmes qui volontairement, naturellement, réduisent leur temps de travail pour se consacrer notamment à l’éducation de leurs enfants.
Si certaines ont ce dangereux penchant, c’est du fait de la domination masculine qu’elles subissent depuis leur plus jeune âge, aggravée par l’oppression phallocratique que leur impose leur conjoint.
Une seule solution, si temps partiel il doit y avoir, il doit être obligatoirement partagé à parité entre l’homme et la femme.
La liberté de choix des couples pour organiser leur vie et celle de leur famille doit céder le pas à la volonté de nos modernes suffragettes.
Cela n’aurait guère d’importance, si cette profonde pensée totalitaire n’était relayée au plus haut niveau ministériel !
Et si ce type d’élucubration intellectuelle ne masquait les vrais problèmes de la parité comme
– les violences faites aux femmes, à domicile ou au travail.
Violences physiques, verbales, ou d’attitude…
– ou de réelles discriminations de carrière liées au sexe.
A la semaine prochaine !